mardi 4 octobre 2011

Analyse critique du texte argumentatif : la maladie de la boisson par Alex Lalonde

Le texte argumentatif par Alex Lalonde est un texte qui fut rédigé avec un manque d’attention aux détails. Je crois qu’il a été fait à broche à foin afin de s’en débarrasser et que l’auteure aurait pu s’efforcer un peu plus afin de maximiser ses capacités afin d’enrichir son texte. Ce texte communique sa désapprobation de la consommation d’alcool chez les adolescents. Si l’on prend le temps de cerner plus profondément la signification de son titre qui est à la fois informatif et incitatif, la maladie de la boisson, l’on peut ressortir son opinion. Une maladie consiste en une altération de la santé pour le mal. Lalonde cherche à décrire la boisson, voir l’alcool, comme étant une nuisance à la santé. L’on apprend plus tard en lisant le texte quelle audience qu’elle tente de cibler : les adolescents. Sur ce, ce titre est très astucieux de la part de l’auteur, je l’ai très bien apprécié.
En lisant ce travail écrit, l’article suit respectivement la structure d’un texte argumentatif. Alex a introduit son sujet en présentant un évènement produit dans le monde afin de situer le lecteur dans la sévérité du problème. Elle présente un couple qui a reçu un appel inquiétant de leur fille au collège qui était à ce temps sévèrement intoxiquée. L’auteure affirme qu’«en fait, l’abus de l’alcool chez les adolescents à travers l’Amérique du Nord devient de plus en plus commun». Cette ouverture est très bien réfléchie de la part de l’auteur. J’ai appréciée l’originalité. Par contre, la thèse n’y est pas présente, ni le sujet divisé. Alex Lalonde a manqué de mentionner ce qu’elle désire prouver dans son texte, voir son but. Sans celui-ci, elle n’a aucun sujet sur lequel elle peut argumenter. Sans une thèse, le texte rapporte que de simple faits avec quelques opinions qui n’ont aucun objectif de faire convaincre le lecteur de quoi que ce soit. De plus, elle a oublié d’inclure une présentation des arguments dans son introduction. Le sujet divisé sert à énumérer les arguments que l’auteur va présenter dans le texte dans l’ordre respective. Ces deux éléments sont clés dans un texte argumentatif. En leur absence, le texte est gravement affaibli.
D’après les arguments présentés, l’opinion de l’auteur est évidente : Elle est contre la consommation d’alcool chez les adolescents. Tandis qu’elle n’a pas inclus de thèse, sont texte ne peut avoir adopté la stratégie argumentative de l’explication. Sans cet élément, elle ne peut pas chercher à expliquer quelque chose dans l’intention d’influencer son lecteur puisqu’elle n’a rien à prouver. Ce texte consiste en une démonstration, c’est-à-dire qu’elle cherche qu’à démontrer le bien-fondé de son opinion. En se servant de cette stratégie, elle réussi à établir une distance entre elle-même et son sujet. Elle adopte un ton neutre et critique ainsi qu’un vocabulaire dénotatif.
Les citations et les faits rapportés dans le texte viennent appuyer l’opinion d’Alex Lalonde. Elle utilise des statistiques et des exemples dès le début pour renforcir son idée. Elle fait également recours aux références d’autorité de personnes très compétentes dans ce domaine. Ceci démontre que l’auteur partage les mêmes points de vue que des gens réputés dans la société par rapport au sujet (par exemple, Dr. Fulton Crews, directeur du Bowles Center for Alcohol Studies à l’Université de la Caroline du Nord).
J’étais désappointée lorsque j’ai lu la conclusion puisque l’auteur a formulé ses solutions sous forme interrogative. Personnellement, l’auteure devrait être confiante en ses solutions présentées. Ceci fait qu’elle semble hésitante, comme si elle ne sait point du tout que faire face à cette problématique. Il me semble inutile d’exprimer ton désaccord envers quelque chose à moins que tu trouves des moyens de la changer. Je n’ai pas aimé la terminaison de ce texte.
En somme, l’auteure a trouvé un titre astucieux et significatif. Son texte est bien structuré pour la grande majorité. Elle a bien introduit son sujet lors de la construction de son introduction, mais elle a oublié d’inclure deux éléments très importants : la thèse et le sujet divisé. Sans ceux-ci, le texte est affaibli de façon majeure puisque premièrement, il n’y a aucun point à prouver, et deuxièmement, le lecteur ne sait pas en lisant l’introduction les arguments que l’auteur va présenter. Par contre, il est évident qu’Alex a fait sa recherche puisqu’elle se base sur de nombreux faits et de références d’autorités qui viennent appuyer son article. Finalement, j’ai moins apprécié son incertitude lorsqu’elle présente ses solutions face au problème. L’auteure aurait pu s’efforcer un peu plus afin de maximiser ses capacités et améliorer son texte. 

lundi 3 octobre 2011

La violence au hockey

En 1922, la LNH introduit un nouveau règlement au hockey, le règlement 56 (plus tard reprit sous le numéro 47 dans le livre des règles de la LNH) qui autorise officiellement le combat entre les joueurs. Au cours des années 1980, le nombre de combats est supérieur à un par match. De nos jours, plusieurs amateurs de hockey croient que cette violence fait partie du jeu. Par contre, ils ignorent les conséquences sérieuses. La violence au hockey nuit au recretement de joueurs et elle peut parfois être très couteuse aux équipes. Elle pose également des risques importants face à la santé. Devrait-on accepter le combat au hockey?
Un sondage Léger Marketing publié la semaine du 9 septembre 2011 par le Journal de Montréal démontre que la grande majorité des Québécois ne voient pas l'utilité que les équipes se battent et souhaitent que les bagarres soient interdites.
Premièrement, la violence au hockey ne devrait pas être acceptée parce qu’elle modifie les standards de recrutement. Depuis l’augmentation de combats en 1980, les entraîneurs commencent à percevoir les combats comme une nouvelle méthode stratégique. Un nouveau rôle non officiel est introduit au jeu, le «policier», un athlète aggressif qui a pour but de protéger les joueurs étoiles de l’équipe. Par exemple, Gary Roberts est apparu chez les Penguins de Pittsburgh pour protéger Sydney Crosby. Un policier intimide les participants adversaires afin de créer un choc psychologique chez l’autre équipe. Par contre, les policiers ne sont pas habituellement les joueurs les plus adeptes de l’équipe. Ceci bouleverse le recrutement de joueurs parmi les franchises de la LNH puisque les entraîneurs cherchent plûtot l’aggressivité et la grandeur des joueurs que leurs capacités techniques. Sur ce, la violence ne devrait pas être tolérée puisque les athlètes plus compétants et moins violents perdent leur chance à participer à la LNH.
Deuxièmement, les baggarres au hockey ne devraient pas être tolérées car elles changent les résultats. Dû aux combats, certaines équipes ont perdu des joueurs, des matchs, voire des championnats. Par exemple, au championnat de monde junior de 1987, le Canada et l’URSS s’affrontent. Lorsque les Canadiens mène 4 à 2, une bataille éclate entre les deux équipes dont tous les joueurs y participent (incluant les deux gardiens de but). Celle-ci durera 20 minutes et se termine par l’extinction des lumières de l’aréna par les arbitres. L’incidant provoque la disqualification des deux équipes et leur coûtent la médaille d’or et le titre de champions du monde au profit de la Finlande. De plus, lors de la saison de 1996, à la finale de la conférence de l’Ouest, Claude Lemieux, joueur à l’époque de l’Avalanche de Colorado, a effectué une mise en échec par derrière sur Kris Draper des Red Wings de Détroit. Draper en ressort blessé et Colorado gagne la Coupe Stanley.
Voici Claude Lemieux, joueur de l'Avalanche de Colorado, qui effectue une mise en échec par derrière sur Kris Draper des Red Wings de Détroit losqu'il retourne au banc.
De plus, ces combats ne sont qu'une pure perte de temps. Par exemple, lors des séries éliminatoires de 1984, le 20 avril 1984, une joute de second tour entre les Canadiens de Montréal et les Nordiques de Québec se transforme en une grande bataille total à la fin de la deuxième période après plusieurs combats individuels et accrochages. Avant le début du troisième tier, il y a le chaos total entre les deux équipes. Un total de 250 minutes de pénalité et 10 pénalités de matchs sont accordées aux deux franchises pour mauvaise conduite. Ce match est aussi surnommé la bataille du Vendredi Saint. Le 5 mars, les Flyers de Philadelphie et les Sénateurs d'Ottawa s'affrontent. Lors du match, ils surpassent le record et atteignent un total historique de 419 minutes de pénalités pour cinq combats généraux et autres bagarres entre joueurs peu habitués à se battre, incluant les deux gardiens de but. Ces bagarres coûtent la présence des joueurs étoiles sur la glace, un désavantage numérique à l'équipe. De plus, les chances de l'équipe de bien faire diminuent de façon drastique. Devrait-on accepter la violence au hockey? À quel prix?

Troisièment, les combats au hockey ne drevraient pas être acceptés car ils présentent un énorme risque à la santé. En 2007, le combat entre Todd Fedoruk des Flyers de Philadelphie et Colton Orr, joueurs des Rangers de New York. Ce fut un court incident mais Orr porta un coup tellement puissant que Fedoruk s’est retrouvé inconscient. Les dommages au cerveau sont très dangereux. Le traumatisme peut survenir d’un coup assez fort au visage ou à la tête. Les commotions cérébrales sont causées par l’impact du cerveau à l’intérieur du crâne. Toutes ls commotions cérébrales peuvent entraîner des conséquences graves et durables. Ces dommages affectent le fonctionnement des cellules du cerveau et peuvent mener des symptômes au niveau physique tels que les maux de tête et les étourdissements. De plus, elles peuvent avoir des effets cognitifs, comme par exemple, le manque de mémoire et la difficulté de concentration, ou des effets émotifs comme la dépression. Les casques protecteurs ne sont pas efficaces pour ce qui en est de la prévention des commotions. Celles-ci peucent retenir unssure joureur à l’écart du jeu pour une longue période de temps. De récentes études ont démontré que les effets cumulatifs de multiples commontions peuvent avoir de terribles conséquences sur la vie d’un jeune athlète. Par exemple, Sydney Crosby, joueur étoile des Penguins de Pittsburgh et gagnant de la médaille d’or aux Jeux Olympiques d’hiver 2010 à Vancouver, étati retiré de la LNH pendant huit mois dû à une commotion cérébrale. Plusieurs ont noté la différence aux techniques de Crosby. Cette blessure pourrait une fois pour toute mettre fin à la carrière de ce jeune joueur. De plus, les jeunes athètes de hockey commencent à imiter leurs idoles à la télévions. Selon Hockey Canada, plusieurs ont observé la croissance de violence au hockey, surtout chez les adolescents au niveau secondaire. Malheureusement, les enfants sont plus susceptibles aux conséquences d’une commotion et ils peuvent avoir besoin d’une longue période de repos avant de reprendre leurs activités. Selon le docteur Todd A. Schmidt d’Atlanta, Géorgie : «Un tier des blessures au hockey sont causées par les combats et la violence». Bref, les bagarres ne devraient pas être tolérées au hockey car elles présentent un danger face à la santé des athlètes.
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Voici les photos de l'incident où Sydney Crosby eut sa commation cérébrale.
Les combats au hockey ne devraient pas être accepté au hockey. En premier lieu, la violence étant nouvellement introduite comme une stratégie, les entraîneurs prendront des athlètes plus agressifs et laisseront de côté les athlètes plus talentueux. Ensuite, la violence coûte chère à certaines équipes qui ont perdu divers championnats dû à s’avoir battu. Finalement, les combats présentent des risques sérieux à long-terme chez les joueurs face à leur santé. Comme l’a souligné Hockey Canada, les entraîneurs et les responsables d’équipes devraient éliminer à tout prix ce type de comportement. Ils devraient adopté un plan de précaution et des règlements face à celui-ci contre les combats, ainsi que les expliquer en profondeur aux joueurs, aux entraîeneurs, aux responsables et aux parents pendant la saison. C’est en jumelant l’éducaiton par rapport aux coomotions cérébrales aux parents et aux joueurs afin d’éviter n’importe quel incident. «Pour diminuer tout risque, il faudra apporter plusieurs modifications aux comportements».